Des sources du père d’une victime, un jeune garçon de 10-12ans, qui a pu s’échapper après deux (2) mois de séquestration, il existe actuellement à Niamey un réseau de trafic humain. En effet, dans le quartier de Koira tegui, chaque mois, au moins, un enfant disparaît. De l’avis du rescapé, c’est une maison close dans laquelle des femmes, enceintes ou non, des jeunes filles et garçons sont séquestrés, nourris, plutôt gavés, pour être vendus. A l’intérieur de la maison, il leur est confectionné des actes de naissance avec un accompagnant qui se fera passer pour un parent au moment des livraisons. …